Un "kamikaze" dans la cours royale...

Raphaël s'avança lentement dans la cours. Elle était grande, pleine de plantes et de fleurs. Ceux qui s'occupaient de la cours le faisaient surement sans arrêt.

Raphaël regarda autour de lui. Le palais lui avait été permis...Premièrement parcequ'il avait sauter par dessus de l'énorme clôture et secondement parcequ'il c'était sauver des gardes. Il était habituer a ce genre de vie. Toujours de se sauver, mais bien-sûr les gardes royales étaient plus facile a dupper que des policiers...

Raphaël ne comprenait pas vraiment ce qui se passait autour de lui. Un moment plutôt, il était en prison et maintenant, il était là dans une merveilleuse basse cours paisible et charmante.

Le soleil était à son plus haut...Il devait être midi ou peut-être une heure de l'après-midi. Raphaël avait remarquer que sa montre était fini, il l'avait jeter depuis près de quelques heures. Il ne savait pas trop où il avait pus atterir mais une chose était sûr...La femme qui se tenait sur le blacon était magnifique...

* Cette femme doit être un ange descendue du ciel pour m'annoncer ma mort...Avec elle j'irais volontier au septième ciel...*

Les pensés de raphaël n'était pas les plus respectante mais jamais il n'avait vraiment appris a meriter uen femme. En fait il n'avait même pas pus un jour connaître les lèvres si douce d'une femme qui touche lentement les lèvres secher de l'homme solitaire...Raphaël regarda simplement cette déesse de beautée et il n'en était que charmer. Il s'était cacher dans un buisson pour que personne ne le trouve...

Raphaël s'approcha un peu plus du balcon ou reposait la merveilleuse étrangère et avec un voix des plus gêner il dit simplement:

- Mais que me vaut que les dieux m'envoient une de leur plus belle déesse pour que je puisse sagement admirer sa beautée...Pourriez-vous me repondre merveilleuse étrangère?

S'il y avait bien une chose que Francesca aimait, c'était bien la cours du palais. Or, très peu de monde était prévilégié à s'y aventurer. Et principalement, la cour lui appartenait. C'était elle qui décidait quels fleurs elle voulait. Puis, ses domestiques, ou plutôt ses jardiniers, les plaçaient là où elles devaient aller. C'est ainsi qu'une cours magnifique, au fleurs multicolors se créa.

Des années durant, elle s'arrangeait toujours pour que le jardin reste beau. Au fleurs s'ajouta des arbres; Lys, cerisier, pommier... Puis, un peu plus tard, une immence fontaine, représentant l'effigie du château, s'ajouta à tout ce décor, suivit par divers autre attraction qui ajoutait à ce lieux paradisiaque un touche de divinité.

Or, un matin, alors que la reine n'avait rien à faire, décida de ce rendre à son balcon privé. Ce dernier donnait une vue panoramique et prévilégié sur la cours royale. Immense et toujours aussi majestueux, le soleil matinal couronnait le tout, arosé d'une fine couche de rosé, qui faisait briller de mille feux le jardin.

Francesca était perdu dans ses pensées, subjugé par le spectacle, quand soudain, une voix timide se fit entendre. Elle se retourna, personne. Elle eut alors le réflexe de regarder au sol, même si elle se doutait d'y trouver du monde, à cause de la sécurité.

Elle fut donc surprise de découvrir un homme, d'âge mur, qui la regardait d'un regard passionné mais timide. Il parlait très bien... Sans aucun doute, il devait pas être n'importe qui, pour avoir traversé tout le système de sécurité.

Cependant, il était pourtant naturel pour la reine d'avoir peur, et d'appeler les gardes. Ce n'est toutefois pas cela qu'elle fit, au lieu de, elle s'excusa auprès de l'inconnu et disparut du balcon.

Quelques minutes, interminables et surtout effrayante, pour Raphaël, s'écoula dans un silence de mort, opressante. Devait-il s'enfuir, était-elle partit avertir les garde? Il s'apprêtait partir quand une voix plus près, à son côté gauche, retentit.

- Vous, bel homme, comment êtes-vous arrivé ici même, alors qu'il n'est point possible de le faire. Domestique? Votre allure n'est point ressemblant. Magicien? Peut-être... Qui plus est, je vous pris de bien vous présentez, et veuillez vous tenir à l'écart. Moindre geste alarmant de votre part, et vous serez entourer de gardien, ce que nous ne voulons pas les deux...

Raphaël souria. Quel bonheur pouvait-elle lui rendre que de ce presenter ainsi devant lui. Alors qu'il aurait crut qu'elle appelerait les gardes...

-Je suis raphaël rodriguez...Et on peut dire que mon statue social serais...Clochard...Mais vous belle ange...Qu'êtes vous?

Raphaël s'inclina dignement. Habituellement il ne montrait que de la haine pour tous ceux qu'il rencontrait mais qu'aurait-il pus faire devant une déesse de beautée. Raphaël se revela et ne fit aucun geste deplacer...a son propre étonnement.

- J'aimerais simplement savoir, si cela ne vous derange pas, où sommes nous?

* Je suis bien loin de chez moi en ce moment...si le paradis detient de si beau ange...j'y reste!*

Raphaël s'elloigna a la vue d'un garde. Se cachant a nouveau dans un buisson, il savait qu'ils voulaient tous sa tête. Premièrement, personne n'avait le droit d'entrer et il l'avait fait et que penserait les gardes s'il voyait la belle étrangère a ces cotés...C'était pour cela que raphaël se cachait...

- Clochard... Dit alors Francesca d'une voix faible et rêveuse, comme si elle parlait à elle même.

" Il est bien spécial pour un clochard. Peut-être que..."

La reine suivit l'inconnu, Raphaël, comme il venait de se nommer, du regard. Ces iris, vifs et discret, décelait l'âme de cet être. Ne vous détromper pas, ceci n'est point de la magie, seulement une routine qu'elle travaille depuis tant d'année.

Il semblait rêveur, perdu même! Quel étrange personnage...

- Vous n'est certainement pas un simple clochard de ruelle pour ainsi traverser avec tant de facilité le jardin royale, finit-elle par dire, d'une voix calme mais aussi autoritaire. Car, comme je viens de vous le mentionné, ici vous êtes dans une partie privé du château. Personne sans permission n'a accès à cette partie du manoir. Du fais, je me présente, Francesca Faden, l'aîné des trois soeurs, et reine de ce royaume.

- Mais dite-moi enfin, par curiosité, comment avez-vous passé la muraille, et tout les garde?

Elle remarqua à ce moment que le nouvel arrivant se cachait des gardes. Un légé sourire flotta sur les lèvres tendre de l'impératrice.

- Ne vous en faites pas, tant que je n'en donne pas l'ordre, ils ne vous arrêterons pas.

Elle s'approcha, et releva le menton chétif du jeune garçon. Puis se mit à le tourner d'un côté, puis de l'autre. Elle prit ensuite les mains de ce derniers, et comme pour le visage, elle les observa. Tout à coup, elle le relâcha, rapide et agile. Elle se retourna à moitier, avant d'ajouter;

- Suivez-moi je vous prit...

Ce n'était pas une demande, mais plutôt un ordre...

Raphaël executa la demande de la reine avec presque du plaisir. Il n'était pas très difficile et éviter les gardes n'étaient qu'un soulagement.

-J'ai réussie a venir en sautant par dessus la clotûre, en courant dans tout les sens et finalement en sautant dans un buisson et de là j'ai pus appercevoir votre merveilleuse beautée...

Raphaël souria et tout en continuant de suivre la reine il se posa une question...

* Logiquement, si il y a une reine...il devrait y avoir un roi...et c'est quoi cette hiéarchie reculer des roi et des reines???*

Raphaël commençait a se dire que soit il était mort...Soit on l'avait banni de son monde pour l'envoyer chez les fou...sayait il était devenue cinglé...c'était la seule solution logique...

-Attendez une seconde! Je suis devenue cinglé ou quoi?...Depuis quand une reine n'a t-elle pas de roi?...ou bien vous en avez un...et d'ailleur ou es-ce que nous allons?

Raphaël regretta un instant ces paroles mais on ne pouvait pas reculer le temps...
[ Orus mon demon]

Le faucon volait au dessus des deux têtes. Il voyait bien que son maître allait paniquer alors autant...

* Maître...je vous en prit...ne sorter aucun couteau près d'elle et ne faites aucun geste trop brusques...sinon je ne pourrai plus vous aidez!*

[ fin de la sequence du faucon]

-Qui a parler!?
Raphaël se tourna d'un bond...il n'avait aucune idée que le faucon au dessus de leur tête était un demon...son demon...il regarda francesca et s'avança plus près d'elle.

-Vous aviez dit quoi plus tôt...magicien c'est cela?...Sa existe!?

Francesca se retourna la tête en direction de Raphaël, un sourire énigmatique pointant ses lèvres. Elle s'était bien évidement douté qu'il était étrange, mais voilà maintenant l'explication; Il venait d'arrivé sur les terres de Faden...

Car bien sûr, les trois soeurs étaient au courant des vagues d'homme et de femmes qui arrivaient à intervalle régulier sur les terres. Elles ne s'en étaient cependant jamais occupé. Pour elles, ce phénomène leur était tout à fait normal. Et, personne ne manquait de rien, les hiérarchies, les familles, et les classes sociaux se formaient d'elles-même. Grâce à ces mouvements, le monde des Faden prospérait.

- Et bien, il faudra que je demande aux gardes d'augmenter la sécurité...

Puis, sans aucune avertissement, ce nouvel arrivant commença à paniquer. Une crise d'hystérie? Il semblait être de plus en plus perdu! Un sourire à la fois compatissant, mystérieux, et espiègle apparût sur la commusure de ses lèvres. C'est avec une légère pointe d'amusement qu'elle lui répondit;

- J'ai effectivement un mari, très cher. Et, sachez pour votre gouverne que je vous ammène au château. Au fais, si je puis vous donner un conseil que je ne donne jamais; Oublier maintenant votre vie passé, car elle n'existe plus ici. Et, puisque vous allez oublier dans quelques temps, tout aussi bien vous accomodé maintenant.

Les deux marcheurs entendire à ce moment là le cri perçant d'un oiseau. Alors que Raphaël, paniqué, regardait tout autour de lui, Francesça eut un nouveau sourire, tout en regardant dans les airs. Un faucon voltigeait en formant des cercles plus que parfait. C'était le démon de Raphaël, à ne pas en douter...

Elle leva la main, dans le but que l'oiseau vienne attérir. Puis, elle se retourna vers Raphaël, et répondit à sa question;

- Il y a bien des magiciens ici. Tout comme des guerriers, et une hiérarchie monarchique.

Ils étaient maintenant rentré dans le palais, et ils se dirigèrent vers le quartier des invités...

Raphaël suivait encore la belle déesse. Il s'arreta lorsqu'elle lui dit des paroles presque troublantes...Comment pourrait-il entrer si la securité était augmenter...déjà qu'il avait failli perdre sa tête en entrant. il continua après s'être secouer la tête plusieur fois.

un peu après, un faucon vint se poser sur le bras de la reine. Raphaël ouvra grand les yeux.
* C'est lui qui m'a parler a l'interieur de ma tête...*

Raphaël fit comme si cela n'était qu'un mauvais rêve. Il continua de suivre la reine. Elle l'emmena finalement dans le quartier des invités. Raphaël regarda tout autour de lui. L'endroit était resplandissant alors il ne voulait même pas s'imaginer a quoi ressemblerait les quartiers royales.

-Cette endroit est réellement magnfique eu...quel est votre nom belle ange?

Raphaël regarda la reine droit dans les yeux. Peut-être que c'était interdit ou peut-être pas...mais quoi qu'il en soit il se plaisait vien a voir ces yeux et son visage qui le charmait tellement.

[ desoler c'est peut-être court mais je doit partir alors j'ai fait vite]

Ils étaient maintenant devant une porte en bois massif, de couleur foncé. Chaque côté s'étandait des portes de la même natures, et entre chaque était entreposé divers tableaux, statues et de chandelles. De temps à autres, un garde, s'y promenait, mais on voyait plus souvent des domestiques qui s'appliquait à faire leur boulot.

C'est alors qu'un domestique passa tout près de la reine, et s'arrêta devant elle quand Francesca l'intercepta, saluant en se pliant en deux, il se releva pour ensuite ajouter;

- Avez-vous besoin d'aide, ma reine.

Francesca se pencha vers le domestique, et lui murmura des paroles incompréhensible pour Raphaël;
" je veux que vous vous occupiez de ce charmant jeune homme. Je le veux propre comme un sous neuf, et bien habillé. Venez me l'apporter dans mon bureau après. Je m'occuperai du reste."

Le domestique acquiesça. Francesca se retourna, et toujours avec se sourire énigmatique, elle posa la main sur la tête de Raphaël, et lui dit d'un ton calme et autoritaire;

- Vous allez suivre cet homme. N'ayez pas peur. Il est l'un des meilleurs domestiques que j'ai connu. N'essayer pas de lui faire avoir des ennuis, sinon, j'en serai immédiatement avertit.

Raphael se courba un peu en signe de respect et suivit l'homme qui lui disait de le suivre sans roupeter. Une heure pus facilement s'écouler et raphaël fut enfin libre de sortir du bain et des soins qui lui était donné. Il portait un costume qu'il trouvait étrange mais c'était des vêtements médievaux qui lui avait été donné.

Raphaël arriva a nouveaux là ou il avait quitter la reine et il attendit que quelqu'un l'avertisse qu'il avait été fraîchement laver et dorloter pour qu'il reyonne de beautée. Le jeune homme ne voyait pas vraiment l'importance de rester propre puisque qu'il vivait toujours, depuis enfant, dans la saleté et le sang. Mais un bain ne lui avait pas fait de tort.

-Bien, vous êtes plus heureuse maintenant que j'ai été laver milady?

souria a la reine et se courba de nouveau devant elle.

-J'aimerais savoir...Pourquoi m'avoir donner un traitement de faveur?

Le clochard se releva la tête et attendit sagement une reponse

Alors que Raphaël se retourna pour suivre le domestique, la reine, elle, se retourna et se dirigea d'un pas lent et non chalant vers son bureau. Elle avait bien des papiers à remplir, des messages à envoyer, des tâches à attribuer et tout le tralala que demandait une reine.

Alors qu'elle termina son dernier papier, Raphaël apparût au cadrage de porte. Visiblement, ses domestiques avaient fait du bon travail! On pouvait, maintenant, admirer la qualité de ces cheveux blond, que nous aurions pas qualifier ainsi, quand il était sale. Propre, ses yeux paraissait encore plus vert ainsi, et un teint légèrement balzamé, signifiant quelq'un d'actif à l'extérieur, se fit enfin remarqué.

Un sourire satisfaisant s'afficha sur le visage de la reine, alors qu'elle s'avança toujours vers Raphaël. À sa hauteur, elle l'inspecta plus minucieusement, sous le regard toujours curieux et surpris du jeune homme. Finalement, elle répondit à sa question;

- Et bien, j'admire votre courage et votre ténacité. C'est pas n'importe qui qui peut entré dans le château comme vous l'avez fait. Et puis, depuis tant d'années que je gouverne dans ce château, et je n'étais pas la première. Nous nous sommes jamais réellement préocupé de notre royaume. Certes, nous les nourrissons, et nous les payons, et plus encore. Mais jamais je m'occupe d'une personne en particulier.

''Cependant, quand je vous ai vu, j'ai cru bon me rapprocher. Si vous le voulez bien, j'aimerais que vous deveniez mon protégé. Que vous soyez à mon service, mais un service prévilégié. Qu'en dite-vous?

Elle s'approcha à ses côtés. De la même grandeur ou presque, elle pu le fixer de ses yeux froid, mais qui affiche toujours la même passion, et la même beauté irrésistible...

"Garde du corps personnel avec bonus en prime?"

Elle caressa les cheveux du jeune homme, soudainement pensive à ses dernières paroles. Téméraire, suicidaire peut-être? Mais malin, rusé, intelligent et agile. Elle se devait de le garder à l'oeil, elle se devait de le garder. Il lui serait d'un grand atout...

- Garde du corps personnel... Se murmura-t-elle à elle même, même si l'autre pouvait l'entrendre aussi.

Elle s'avança à la l'immense fenêtre du bureau, et y regarda le paysage. Au bout d'un moment très court, elle se retourna, vif comme l'éclaire.

- Et pourquoi pas? Cela vous dirais de devenir officiellement mon garde du corps? Bien évidement, avec les bonus... Et, je ne parle pas de bonus comme de l'argent, non... Je parle de bonus mieux encore.

" Bien évidement, vous serai payer, n'en soyez sans crainte...