Ô belle au bois dormant... ( PV)

Tout était sombre dans la pièce. Le château était désert. Nul être vivant ne se promenait à cette heure de la nuit. Le village même était dans un de ces états de torpeur qui donnerait la frousse même au silence. C'était frais, le ciel était dégagé, laissant paraître une magnifique constellation.

Dans son coin, seule, l'astre lunaire s'enflammait. Elle avait, depuis quelques temps déjà, remplacer le cuisant soleil. Maintenant, elle emcombrait le ciel en projetant sa douce lumière grise sur le royaume de Faden.

Or, dans la chambre impériale, d'une immmensité perdu, mais restant dans une simplicité insoupsonné, dormait à point fermer Francesca. Pour une nouvelle nuit - elle ne les comptait plus - elle s'était endormie seule. Car, malgré le fait d'être marié. La reine était chargé de plein d'affaire, et devait rester de côté. Et son mari, bien sûr, en faisait tout autant.

Cela faisait quelques jours maintenant qu'il avait quitté le château, car il avait une formation, un entrainement. Et il ne voulait s'inccomodé de voyage. Il avait donc prit une chambre dans une taverne.

Mais voilà, dans ce silence profond, Francesca, dormant d'un sommeil sans rêve, ne s'apperçu pas de l'être, au pas discret, qui entra dans sa chambre. Elle faillit même crier quand ce dernier ce coucha dans sa couvette.
Skarthan!

Elle était si contente de le voir, qu'elle le serra fort dans ses bras.

- Je suis si contente que tu sois là, devant moi! Tu m'as tellement manqué mon chéri...

Elle l'embrassa tendrement sur la bouche, la fatigue totalement envolé...

Francesca se laissa embrassé, comme tout cela lui avait manqué! Il était arrivé en plein milieu de la nuit, certes, mais c'était une nuit des plus fraîches, des plus belles. Elle était si contente qu'il soit sain et sauf...

Or, une sombre pensée lui traversa l'esprit et tout en se reculant subitement, elle regarda son mari avec un regard chargé de panique et d'inquiétude;

- Oh mais! Vas-tu rester ici longtemps? J'espère que tu ne comptes pas t'éclipser aussitôt arrivé! Je ne pourrai jamais le supporter!

Un regard dans les yeux de son mari lui apprit qu'elle n'avait pas à s'inquiéter là-dessus. Ce qu'il confirma par voix. Un soupire de soulagement l'emplit soudainement.

Elle se colla sur l'abdomen de son mari et ferma ses yeux, se silence, et ce sentiment qu'elle ressentait en ce moment, était presque magique...

(Hj : désolé, c'est court xD j'avais pas d'inspi ^.^)

Francesca se releva légèrement, exprimant un air désinvolte. Après être parti plus de deux semaines, il fallait à tout prit qu'il retrouve son énergie! L'épuisement et le travail qui à dû faire... Il devait tout récupérer.

- Et bien, mon amour, il faudra - quand tu sauras sous mon toit - que tu dormes des nuits! Pas question de nuit blanche... Tu as assez malmené ton corps. Ne vois-tu donc pas qu'il réclame une pause! Si petite soit-elle... Une nuit de sommeil te ferais tant du bien!

Elle embrassa tendrement son mari, avant d'ajouter d'une voix plus douce, plus insistante;

- Et puis, tu as beaucoup de travail ici aussi... Il faudrait pas que notre roi tombe endormi en plein milieu d'un évenement important...

Francesca recevit les baisés avec joie. Il y avait si longtemps qu'ils ne s'étaient pas carressé ainsi, et la reine s'apperçu bien vite que cela lui avait plus manqué qu'elle ne l'aurait pensé. Elle se laissa donc embrasser, ripostant de temps à autre par d'autres baisés, aussi passionnés.

''Moi j'ai peut-être trouver une solution...'' Dit-il.

Un sourire malicieux s'afficha sur les douces lèvres de Francesca. Qu'elle solution voulait-il? Soudain, elle perdit son sourire, subitement. Elle se releva, tassant par le fait même son mari, et, assit sur le lit, elle fixa la rose posé dans un magnifique vase. La conversation entre sa soeur cadette et elle-même lui revint en tête.

Une main réconfortante se posa sur son do, la ramenant à la réalité. C'était son mari qui s'inquiétait de son comportement. Elle le regarda, mais ne dit rien...

Francesca continua de regarder son mari, peiné que parfois, il sache les chose en avance. Cependant, elle ne pouvait pas lui caché cette conversation, elle devait en parler. Car elle était dans une impasse vis-à-vis ses propres décisions.

- Oui, tu as comprit... Je ne sais pas plus quoi faire. Je suis inquiète. Je connais bien ma soeur cadette. Et je sais pertinement que ce qu'elle a vu peut savéré vrai. Mais, toi, qu'en penses-tu de tout cela?

Elle fit une courte pause. Tant d'évenents est arrivé depuis son départ; La prémonition de sa soeur, ce nouveau arrivant... Raphaël...

- Oh au fais, j'ai mit sous mon aile une jeune homme. Il se nomme Raphaël. Il a réussi, par je ne sais quel moyen, a traverser les gardiens. Je l'ai découvers dans le jardin. Ne t'en fais pas, il ne me veux aucun mal cependant, il m'intrigue...

Francesca regarda son mari un instant avant de sourire légèrement. Décidement, ce dernier prennait vraiment en protection sa femme...

- Ne t'en fais dont pas mon cher... Il ne me fera aucun mal, et il ne sèmera pas le bordel. Je crois qu'il à trop d'admiration envers moi, pour me faire un coup pareille. Et puis, s'il fais le moindre faut pas, tu sais très bien qu'il va se retrouver vite dans les cachots.

Elle resta sagement assit dans l'immence lit baldaquin pendant que son mari, lui, se levait pour aller chasser sans ménagement les domestiques de leur chambre...

" Pauvres serviteurs...* Se dit-elle.

Quand il revint vers elle, il semblait perdu dans ses pensées. Et comme le connaissant, il détestait se faire interrompte. Elle s'approcha discrêtement vers lui, et l'enlaca de ses fins bras, tout en l'embrassant dans le cou.

- Cesses dont d'être aussi arrogant avec les domestiques. Ils font simplement leur travail...

Elle l'embrassa une fois de plus dans le cou. Le silence était a présent revenu, mais un beau silence...

La reine lui prit le menton entre ses fins doigts, et lui releva le visage vis-à-vis elle. Cette dernière se rapprocha du visage pour effleurer ses lèvres, puis, souriante légèrement, elle lui sussura d'une voix douce mais quelque peu suppliante;

- Alors tu n'as qu'a rester près de moi! Tout mon corps s'ennuis de tes caresses, et mon âme souffre par le manque de tendresse de celui pour qui il s'abandonne. Même comme guerrier et magicien, ne peux-tu pas rester avec moi plus souvent? Le monde est en paix, ne pouvons-nous pas se reposer un peu? Qu'allons-nous devenir quand il y aura guerre et chaos? Je ne supporterais pas que tu me quittes à nouveau...

Elle l'embrassa d'abord avec tendresse, puis avec un peu plus de passion...

- Je t'aime...