La nuit étais fraiche, un doux vent balayait les environs d'un doux vent, ébouriffant les poils du chat noir fixant le ciel étoilé perché sur le toit sous la surveillance intense de la lumiere de la lune. Dans le ciel de ce coin de royaume tronait la tour des chevaliers, haute, forte, majestueuse, pourtant ceux qui y vivait ne réalisait meme pas la beauté de cette tour si enchantresse, non les chevaliers voyait bien souvent seulement ce qu'il y avait a affronter, il s'entrainait et combattait, leur courage, leur galantrie et leur honneur, tous futile! Leur courage leur fesait faire des combats insensé ou la plupart perdait la vie inutilement alors qu'il aurait pu y avoir une autre solution, leur honneur menait a un ego surdimensionné qui provoquait plus de combats qu'il n'en solvait. Dans sa facon de pensé plus poétique, Oliven n'aimait pas les combats depuis longtemps, il avait perdu tant d'etres chers ainsi... Si seulement il pouvait se souvenir qui... Ce n'étais certainement pas parce qu'il ne savait pas se battre qu'il n'aimait pas le combat au contraire, Olivens aviat se battre, c'étais un véritable génie dans ce domaine, il ne maitrisait pas l'épée comme eux le fesait, il n'étais pas aussi fort que c'est chevalier stupide, mais il étais rapide et agile et la dessus, il les battait tous, alors qu'eux se tenait en position de combat et fesait tournoyer leur épée, l'ex humain tournoyait, flippait, virevoltait et grace a son déchainement de pirouette, il égalait presque Allena, sa petite taille l'aidait aussi. Soudain sans rien dire, le souvenir de la femme flou qui pleure revint dans la tete du chat qui tressaillit sur le toit, son regard se perdit dans l'immensité du ciel étoilé et du calme qui y régnait. La pire chose pour un démon comme lui étais un souvenir de son ancienne vie comme lui, il n'étais pas normal comme démon, il se souvenait alors qu'il n'aurait du rien ne se souvenir et contrairement aux autres qui n'étais pas attaché a l'apparence humaine, Oliven sentait que quelque-chose l'appelait dans cette forme.
-Qui est tu douce inconnu. Murmura le chat a la lune qui semblait lui envoyer un appel silencieux, si seulement il pouvait y répondre.
Le souvenir revint plus fort, le chaton noir plaqua ses mains contre sa tete, le souvenir le détruisait de l'intérieur, le chat tituba et passa par-dessus le toit ou il alla s'écraser dans une meule de foin. Sa tete ressortit de la meule de foin dans un coup de patte ridicule et se fixa dans un coin de la cour, il y avait quelqu'un. Le chat grogna et sortit ses griffes exagérement longue dans un effet tout a fait comique pour un chaton de sa grosseur.